poêmes

 

 

  

Petite phrase.

 

 

 

Le verbe aimer ne se conjugue qu'au Présent

 

 Car eu Passé il fait pleurer et  au futur il fait rêver .

 

 

 

 

 

 

LES LOUPS NOIRS

 

Les loups noirs se meurent dans leur désespoir

ils ne veulent pas de la gloire

Ils ne veulent pas de notre pitié

ils ne souhaitent que la liberté

 

Abandon

un chien chat ou canari
certains disent "animal de compagnie"
moi je dis
que c'est un ami

un enfant
qui ne demande que de l'amour
être avec vous tout le temps
tous les jours

en échange de cet amour
il vous donnerait sa vie
vous vous l'abandonnez ici
en lui disant que vous l'aimerez toujours

et vous partez sans regret
vous vous dites que vous avez bien fait
vous l'abandonnez
en vous disant qu'il sera sauvé

finalement il marchera
mais il se contentera
des poubelles de la ville
ou il se faufile

 

 

 

Un animal

 

Regarder dans leurs yeux la joie l'amour la tendresse.
Ses petit yeux là vous remercie de votre gentillesse.

Il vous remercie bien.
Rien quand faisant un petit câlin.
Il ai aimer depuis que vous avez adopté.
Grâce a vous il a été sauvé des gens qui le mal traitait.

Il est un peu coquin.
Mais vous aimer bien.
Car c'est un copain.
Depuis que c'est votre chien.


Votre animal de compagnie qui soit grand ou petit
Il faut bien se le dire  c'est pour la vie.
 

Regarder dans leurs yeux la peur la haine la tristesse.
Quand il sait qu'il aura plus de caresse.

Il est malheureux car il est laisser.
Sans être regarder dans les yeux il se sens détester.
Depuis qu'il est abandonné.
A causse de vous il sera peut être pas sauvé.

Il reste dans un coin jusqu'au lendemain.
Pour pourvois un matin. 
Redevenir un copain.
Pour quelqu'un qui fera du bien.


Votre animal de compagnie qui soit grand ou petit
Il faut bien se le dire  c'est pour la vie.

 

 

 

                   La prières du Chien

 

  A toi, mon cher maitre

 

Fidèle je te suis, fidèles je te resterai,

 

Durant toute ma vie, c'est toi que je suivrai.

 

 

Tu as su m'accueillir, au coeur de ta maison,

 

me caresser, me nourrir, m'aimer pour de bon.

 

Alors, je veux simplement te dire

 

qu'a chacun de tes ordres

 

vibres en moi l'unique désir

 

dans lequel je veux mordre.

 

Auprès de toi je voudrai vivre                                  

 

tant que tu le voudras,

 

O mon cher maitre,

 

s'il te plait, surtout,

 

ne m'abandonne pas.

 

 

        celle - ci est de moi !!!    

 

 

 

                                                       animal         

 

    Perdu, je m’étais assoupi, sous un vieux chêne ou un érable, je ne sais plus.
Perdu et las, je me suis endormi, ou peut être m’étais-je évanoui,
Egaré quelque par, au fond de moi même, j’ai rêvé, peut être...
Rêvé des hommes et de leur stupidité, ou était ce de leur intelligence, je ne sais plus.
Perdu l’équilibre de mon équilibre, perdu les repères de mes pères, je ne sais plus non plus.
.
Endormis sous cette couronne, entre le ciel et la terre, communiant avec le peuple de l’herbe…
J’ai rêvé, de choses que des elfes aux oreilles pointues m’avaient soufflées, ou peut être était ce le vent…
Quel songe étrange, où l’homme et l’animal se mélangeaient en de précieux échanges…
Endormis, j’ai sentis un souffle, une discrète présence.
.
Dans mon rêve, l’aigle voyait bien mieux et plus loin que moi.
Le cheval, malgré ses craintes et ses angoisses, était bien plus libre que moi.
Le chat, malgré ses absences et ses chasses, se souciait sincèrement de moi.
Le renard, agile et malin, par prudence et raison s’était éloigné de moi.
Les oiseaux, se sentaient de part ma seule présence, de vulnérables proies.
.
Dans ce rêve étrange, j’ai vue des vaches paisibles qui broutaient insouciantes, l’herbe d’un vaisseau qui faisait naufrage.
J’ai vue les baleines et leurs yeux, pleurant des larmes sèches s’écoulant dans la mer, s’enfuyant dans la hâte.
J’ai vue de drôles d’insectes, qui comme des mécaniques, rongeaient mon corps et ma tête, en me suggérant de mystérieux messages.
J’ai vue des troupeaux entiers d’éléphants centenaires, capitulant devant tant de bêtise de carnages et de haine.
.
Endormis, j’ai sentis un souffle, une discrète présence
Endormis, j’ai sentis une confiance, ce n’était pas le vent,
C’était un vieil ami fidèle, qui un jour m’avait appris
Que l’animal n’est pas de l’homme le minime sous-traitant
Mais une grande école où les choses importantes se disent avec des silences.
.
…………………………………à mon chien.                                 



22/08/2010
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour